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Potion de Mgr Kleda: déjà 500 patients guéris

Vendredi dernier, l’archevêque métropolitain de Douala a déclaré avoir déjà administré le traitement à 500 patients atteints du coronavirus, et qui ont tous recouvré la guérison.

Monseigneur, vous avez mis en placé, depuis un mois, un traitement contre le coronavirus. Votre initiative est-elle en synergie avec le ministère de la Santé publique ?

Les patients sont accueillis dans nos formations sanitaires. Nous avons trois hôpitaux qui s’occupent des patients. On a donc les statistiques, on fait les examens et on donne le traitement aux personnes réellement infectées du coronavirus. Donc on a les statistiques et on a tout.

Ça se fait dans le cadre médical, et je dirais sous le contrôle du ministère de la Santé. Il y a une réelle collaboration entre nous, puisque nos hôpitaux dépendent du ministère de la Santé.

Donc tout est contrôlé. Nous avons donné le traitement à cinq cents personnes dans nos trois centres hospitaliers de l’archidiocèse de Douala. Nous n’avons enregistré aucun décès. Toutes les personnes ayant reçu ce traitement sont guéries.

Vous pariez de 500 personnes qui ont été traitées. N’y a-t-il pas plus de monde et de demandes que de traitement disponible ?

Pour le moment, mais écoutez, il y a aussi le fait qu’il y a des personnes qui, parce qu’elles connaissent le stress, à cause même de l’idée du coronavirus, viennent. Ce qui fait qu’à un moment donné on a dit que tous ceux qui viennent, qu’on leur fasse faire d’abord le test.

Les patients qui sont positifs, c’est à ceux-là qu’on donne le traitement, pas à tout le monde. Évidemment quand aujourd’hui, vous imaginez… S’il en faut pour tous les Camerounais, il faut une usine. Or on n’a pas d’usine. Donc nous devons être patients. Jusqu’à présent nous arrivons à satisfaire tout le monde.

D’où vous est venue cette idée ?

J’étudie la pharmacopée traditionnelle africaine depuis trente ans. Je continue à étudier la pharmacopée. Donc ce n’est pas un hasard. C’est un mélange de .plantes. J’étudie les plantes.

Aujourd’hui, aucune région du Cameroun n’est épargnée de cette pandémie. En dehors de Douala, prévoyez-vous étendre le réseau de distribution de votre produit.

La semaine prochaine (dès ce lundi, Ndlr) je serai à Yaoundé et à Bafoussam. Pour ça j’ai déjà pris les contacts et ils vont passer.

Source: Le Jour

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