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Paul Biya, un destin hors du commun : des records imbattables

Le 6 novembre 2022, les Camerounais de tous bords, ont célébré avec faste et ferveur, le 40e anniversaire de l’accession à la magistrature suprême de Son Excellence Monsieur Paul BIYA, Président de la République, Chef de l’Etat, Chef des Armées, Père de la Nation.

40 ans à la magistrature suprême d’un pays aussi complexe, aussi diversifié que le Cameroun, n’est pas anodin, sauf pour des esprits en manque de discernement, qui pensent qu’on peut assumer longtemps une mission aussi délicate sans avoir été prédestiné. Que NON !

Le Cameroun, encore appelé « l’Afrique en miniature », est un pays pas comme les autres. Notre pays est l’un des plus difficiles à gouverner : quatre grandes aires culturelles (Fang-Beti, Grassfields, Sawa, Soudano-sahélienne), plus de 250 ethnies qui, au départ, n’avaient rien en commun, mais qui vivent aujourd’hui dans une harmonie et une coexistence parfaites grâce au génie d’un homme d’Etat exceptionnel, S.E. Paul BIYA, qui a fait du vivre ensemble la raison d’être du peuple camerounais.

40 ans de magistrature suprême n’ont pas été un long fleuve tranquille, loin de là. Mais Son Excellence Paul BIYA, doté d’un instinct politique hors pair, a su, avec tact et méthode, trouver des solutions justes et idoines aux défis de toutes sortes, auxquels notre pays a fait face depuis 1982.

Le Président Paul BIYA est non seulement un homme d’Etat charismatique, mais aussi une énigme, un sphinx, un mystère, un mystique insondable, pondéré, patient, méthodique, méticuleux, ferme et intransigeant quand l’intérêt supérieur de la Nation le commande.

Tous ceux qui ont minimisé sa capacité d’endurance se sont lourdement trompés ; ils en ont eu pour leur compte. En effet, ils auraient dû bien écouter ou bien lire et relire le discours de démission du premier Président du Cameroun, qui n’avait duré que trois minutes, pour connaître qui était son successeur.

En effet, le discours du 04 novembre 1982 s’est achevé ainsi qu’il suit : « Je demande à tous de faire confiance à mon successeur constitutionnel, Monsieur Paul BIYA. Il mérite la confiance de tous à l’intérieur et à l’extérieur ». Un véritable donner à penser. Ce qui est dit est dit.

Paul BIYA, la force de l’expérience

Le 6 novembre 2022, les Camerounais n’ont pas seulement célébré le 40e anniversaire de l’accession de S.E. Paul BIYA à la magistrature suprême, ils ont aussi et surtout rendu un hommage mérité à un Grand dirigeant, qui a battu des records jadis considérés comme imbattables.

L’Histoire retiendra de lui qu’il est Unique en son genre. De nombreux événements ont donné raison au Chef de l’Etat. C’est un constat sans appel. Les sceptiques et les pourfendeurs du pouvoir gagneraient à revoir leur jugement à son égard, car, comme dit l’adage, seuls les imbéciles ne changent pas d’avis. En tout cas, faisons les comptes ensemble.

Paul BIYA, la légende

1988, le Président Paul BIYA décide d’introduire des candidatures concurrentes au sein de sa formation politique, le RDPC alors parti unique, à l’occasion des élections législatives et municipales. Dans le langage d’aujourd’hui, on aurait parlé d’un véritable tsunami qui a secoué le paysage politique national. De jeunes loups aux dents longues vont réussir des exploits jusque-là inimaginables, en déracinant certains « baobabs », à l’instar de Théodore Mayi Matip, vice-président de l’Assemblée Nationale, ou encore Bouba Danki, membre du Bureau politique du RDPC.

1990, au moment où « le vent de l’Est » balaie la plupart des pays africains, le Président Paul BIYA a déjà su adapter la démocratie camerounaise à nos réalités. Il ordonne par anticipation l’abrogation des lois d’exception en vigueur depuis 1962 et fait voter par l’Assemblée Nationale, une série de lois sur les libertés publiques : création de partis politiques, d’associations et d’ONG, liberté d’expression et de communication, etc. Ce faisant, le Chef de l’Etat refuse de suivre la direction du vent, car il sait qu’un vent violent est forcément dévastateur, il détruit tout sur son passage.

Avec sagesse, clairvoyance et pondération, le Président de la République a toujours opté pour un changement graduel. En effet, S.E. Paul BIYA n’aime pas la précipitation et ce que d’aucuns appellent la révolution, car elles font le lit des adeptes de raccourcis faciles et anti démocratiques qui entraînent des excès verbaux, la surenchère, les illusions, les fanatismes, les promesses fallacieuses, etc.

1990 encore, un nouveau vocable sorti on ne sait de quel laboratoire, fait une apparition spectaculaire dans la gestion de certains Etats africains : « conférence nationale souveraine ».

Celle-ci est présentée comme le passage obligé pour réussir une transition entre le monolithisme, le multipartisme et la démocratie. C’est la mode partout en Afrique, notamment en Afrique francophone. Au Cameroun, le Président Paul BIYA refuse catégoriquement de tenir compte de cette imposture politique. « « Je l’ai dit et je le répète : la conférence nationale est sans objet pour le Cameroun », déclare-t-il devant la Représentation nationale, comme pour se faire bien comprendre du peuple souverain de qui il tient son pouvoir .

Dossier Bakassi, un cas d’école

Dans les grandes victoires politiques de S.E. Paul BIYA, le dossier Bakassi occupe une place de choix. Le règlement pacifique du conflit frontalier terrestre et maritime entre le Cameroun et le Nigeria, deux pays voisins et frères, est une référence mondiale.

Oui, l’affaire Bakassi, comme on l’appelle, est la preuve du génie politique du Président de la République, S.E. Paul BIYA. Beaucoup d’observateurs avertis ici et ailleurs dans le monde continuent de penser, et à raison, que le Président Paul BIYA et son homologue du Nigéria, le Président Olusegun Obasanjo, méritaient bel et bien le prix Nobel de la paix pour tous leurs efforts dans le dossier Bakassi.

Record absolu et imbattable

En célébrant le 40e anniversaire du Renouveau National, il est de bon ton de rappeler, une fois de plus, que S.E. Paul BIYA, a eu le privilège de célébrer quatre Cinquantenaires, à savoir ; le Cinquantenaire de l’Indépendance du Cameroun à Yaoundé en 2010 ; le Cinquantenaire de l’Armée Camerounaise à Bamenda en décembre 2010 ; le Cinquantenaire de l’Indépendance et de la Réunification à Buea en 2014 ; le Cinquantenaire de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun (1972-2022). Il faut être élu de Dieu pour avoir le privilège de réaliser un tel parcours qui, en réalité, ressemble à un conte de fée… mais pourtant vrai.

Grandes victoires sportives

Au plan sportif, les Lions Indomptables sous le Renouveau ont gratifié notre pays de cinq Coupes d’Afrique des Nations de football : 1984, 1988, 2000, 2002, 2017 ; d’une médaille d’or Olympique obtenue aux Jeux de Sydney en Australie en 2000. Le Cameroun sera dans quelques jours au Qatar, à sa huitième participation à une Coupe du monde de football, dont sept sous le magistère de S.E. Paul BIYA.

Plusieurs autres lauriers ont été engrangés par le Cameroun dans d’autres disciplines sous le Renouveau National. Il serait fastidieux de les énumérer ici.

Défis sécuritaires

Depuis quelques années, le Cameroun fait face à de nombreux défis sécuritaires, notamment dans les régions de l’Extrême-Nord, du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Mais, S.E. Paul BIYA, en homme d’Etat expérimenté, a su trouver les solutions idoines à chaque situation.

Le groupe terroriste Boko Haram dans l’Extrême-Nord, les rebelles venant de la République centrafricaine ainsi que les troubles socio-politiques dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest, n’ont pas ébranlé la République, comme d’aucuns le prédisaient. Sous le Renouveau, lorsqu’on croit le ciel s’assombrir, c’est alors qu’il s’éclaircit pour redonner espoir au peuple tout entier, toujours mobilisé, comme depuis le 6 novembre 1982, derrière S.E. Paul BIYA, combatif et déterminé.

Le Promoteur du Renouveau National a consacré chaque seconde, chaque minute, chaque heure, chaque jour, chaque semaine, chaque mois, chaque année de sa vie, pour assurer le bien-être des Camerounais et pour construire un grand et beau pays où chacun peut s’épanouir pleinement. Oui, le Président Paul BIYA a déjoué tous les pronostics et a toujours confondu ses détracteurs, surtout les prophètes de malheurs toujours à l’œuvre. Mais, qu’on se le redise, le Renouveau National incarné par l’Homme du 6 Novembre, est fondé sur du béton, il est indéboulonnable.

Le Président Paul BIYA toujours offensif

Le Chef de l’Etat dont la parole est rare, marque toujours les esprits lors de ses interventions. Face à l’adversité, il a le propos juste et mesuré. Quelques exemples :

  • –  « Je l’ai dit et je le répète : la conférence nationale est sans objet pour le Cameroun ».
  • –  « Les gens parlent de changement. Ils veulent changer quoi ? Changer la démocratie ou les libertés que nous avons données au Cameroun ? Ou ils veulent seulement changer l’homme par qui le changement est venu ».
  • –  « Il ne faut pas jouer avec le Cameroun ».
  • –  « Au Cameroun, la presse est libre, chacun de nous en sait quelque chose. »
  • –  « Le Cameroun, c’est le Cameroun ».
  • –  « Qui sont-ils, ces politiciens qui se découvrent sur le tard» ?
  • –  « Je ne commente pas les commentaires ».
  • –  « Les apprentis – sorciers veulent obtenir dans la rue ce qu’ils n’ont pas pu obtenir dans les urnes ».
  • –  « Ne dure pas au pouvoir qui veut, mais dure qui peut ».

–  « Le mandat que je mène, a une durée de sept ans. Alors, essayez de faire la

soustraction. 7-4 ou 3, et vous saurez combien de temps il me reste à diriger le pays… Quand ce mandat arrivera à expiration, vous serez informé sur le point de savoir si je reste ou si je m’en vais au village ».

Je dis et je redis : Paul BIYA est un homme d’Etat providentiel. Ceux qui ne l’ont pas compris (le comprendront-ils d’ailleurs ?), un adage dit encore ceci : « Lorsque quelqu’un vous dépasse, il faut porter son sac. » A nous qui avons fait serment de loyauté et de patriotisme, je dis : servir le Cameroun derrière le Président Paul BIYA, c’est accepter d’entrer à l’école de la vie qui est aussi l’école de la sagesse.

La vie est faite d’épreuves mais il faut accepter de les affronter. Car les vrais disciples du Président Paul BIYA sont patients, tolérants, endurants, travailleurs, courageux, humains et déterminés à prendre le dessus sur les ennemis de la République d’où qu’ils viennent.

40, un chiffre mythique et mystique

Le chiffre 40 est à la fois mythique et mystique. Dans la Sainte Bible, le chiffre 40 a beaucoup de significations. Dans le Saint Coran, le chiffre 40 a une place privilégiée, notamment dans le domaine de l’élévation spirituelle. Le Prophète Mohamed avait 40 ans quand le Tout-Puissant lui avait confié la charge prophétique. Jésus Christ a passé 40 jours au désert et Moïse 40 jours dans les montagnes pour recevoir les dix (10) commandements.

Les enfants d’Israël ont souffert pendant 40 ans en Egypte avant d’atteindre La Terre Promise, selon La Sainte Bible. En réalité, le chiffre 40 signifie la plénitude et l’accomplissement d’un grand destin.

Sous la conduite éclairée de S.E. Paul BIYA, le Cameroun est un grand pays uni, stable, diplomatiquement respecté et économiquement courtisé par les autres nations du monde. Le Cameroun demeure un ilot de paix dans une Afrique en proie aux conflits. Le Président Paul BIYA a fait de notre diversité culturelle et linguistique une force admirable.

En conclusion, le 6 novembre 2022 nous a donné l’occasion de célébrer un homme d’Etat exceptionnel et de lui renouveler notre soutien ferme, total et inébranlable. S.E. Paul BIYA reste une inspiration pour l’immense majorité des Camerounais. Personnellement, j’ai parcouru plusieurs fois, les dix régions de notre cher et beau pays, et à chacune de mes étapes, au Nord, au Sud, à l’Est ou à l’Ouest, j’ai fait ce même constat : Paul BIYA est un don de Dieu pour le Cameroun. Nous devons continuer à nous mobiliser derrière lui pour faire du Cameroun, cette « Terre de Promesse », selon le vœu du Pape Benoît XVI lors de sa visite pastorale dans notre pays en 2009. Que Dieu bénisse le Cameroun et protège S.E. Paul BIYA et toute la famille présidentielle.

Yaoundé, le 06 novembre 2022

ATANGA NJI PAUL Homme Politique, Ministre de l’Administration Territoriale

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