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Diffamation et outrage au Chef de l’Etat centrafricain : J. Remy Ngono à la barre

Présenté par plusieurs professionnels de la presse comme étant un dangereux mercenaire de la plume et du micro, le pigiste camerounais est régulièrement employé par des officines ténébreuses, à l’effet d’effectuer le sale boulot. En plus des faits sus évoqués pour lesquels il est coutumier, il est par ailleurs poursuivi par Bangui pour des faits de tentative de soulèvement social en Rca.

Le mercenaire transfrontalier vient sans doute de décrocher lin nouveau contrat des officines ténébreuses. Habitué à vivre du bashing et d’il chantage en direction de certaines autorités politiques et hommes d’affaires au Cameroun, J. Remy Ngono, du nom du sulfureux pigiste d’origine camerounaise, établi en France, vient de s’attirer les foudres du gouvemement Centrafricain.

Ce dernier s’attaque au président centrafricain qu’il accuse de tous les maux sans avancer un seul élément de preuve. Seule la virulence de ses propos chargés d’une volonté manifeste de nuire à l’image politique du Pr Faustin Archange Touadera, donne du tournis.

De quoi susciter l’ire du gouvernement .centrafricain qui vient de porter plainte pour des faits de diffamation et d’outrage à chef d’Etat. A travers un acte de citation direct par voie d’huissier devant le tribunal correctionnel de Bangui, il est appelé à comparaître le 23 juin 2022 à 08 heures précises devant le tribunal de grande instance de Bangui statuant en matière correctionnelle.

Cet homme qui voue une haine viscérale au chef de l’Etat Paul Biya et à certaines autorités camerounaises qui résistent à ses attaques sous fond de chantage, vient d’étendre ses filets dans les eaux habituellement calmes de l’Ubangui Chari.

Sous le prétexte d’agir sous la bannière d’un panafricanisme dont la conception et l’intérêt sont adossés sur quelques billets de banque, Remy Ngono et son acolyte Dame Ntsama Sabine Hortense, dans une parfaite synchronisation de leur volonté de nuire, ont décidé de piétiner les règles d’étique et de déontologie en matière de journalisme en déclarant sans preuve matérielle que :

« Monsieur Touadera utilise sa position pour protéger des entités criminelles internationales. Le président centrafricain y est présenté comme le parrain d’une mafia savamment orchestrée par des feymans camerounais. Un modus operandi digne de cosa nostra », s’insurge le gouvernement centrafricain dans l’acte d’huissier transmis, à la justice.

Dans ce même tissu d’affabulations, Dame Ntsama sabine, quant à elle, allègue que « le président centrafricain est complice de recèle de produit d’arnaque, de produit de blanchiment… ». Le document de justice fait ici allusion au Camerounais Simb, opérateur de crypto-monnaie, qui a investi en Rca.

L’action en justice déclenchée par les soins du ministre d’Etat chargé de la justice, de la promotion des droits humains et de la bonne gouvernance, garde des sceaux à Bangui, repose sur les articles 132 ; 133 ; 134 et 135 de la loi qui répriment le non-respect de l’autorité publique, l’outrage, la diffamation et l’injure en Rca.

S’il semble aujourd’hui clair que la République centrafricaine est sur le chemin de la reconstruction et de la modernisation, il serait sans doute judicieux de reconnaître que la qualité du choix des partenaires par le président Touadera en est pour beaucoup. Personne ne saurait par exemple aujourd’hui nier l’apport du groupe l’Anecdote dans le processus de consolidation de la paix et au développement dans ce pays frère et ami au Cameroun.

Quant aux actes de provocation du flibustier J. Remy Ngono, la justice au Cameroun, en Centrafrique où même en France où il se réfugié tel un rat, devrait bien tôt ou tard, le condamner pour ses nombreuses frasques qui ternissent l’image de tout un pays, mais davantage de l’Afrique.

L’Anecdote

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