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Une femme surprend son époux avec sa fille aînée dans le lit conjugal

De retour d’un voyage d’affaires il y a quelques jours, une dame a surpris sa fille de 21 ans issue d’un précédent foyer, en pleins ébats sexuels avec son époux et père adoptif de la jeune femme. Un acte d’inceste donc.

Sous l’effet de la colère, la dame qui fait la ligne Douala-Afrique de l’ouest a chassé sa fille de la maison. Difficile pour ses voisins du quartier Logpom à Douala de lui faire entendre raison.

En effet, le problème de l’inceste se vit douloureusement dans les familles qui, au départ, ont souvent du mal à l’accepter. Selon les psychologues, cette douleur peut entraîner des traumatismes et des névroses chez la victime, aussi bien que chez les témoins.

Aussi développent-ils souvent des stratégies pour pouvoir assimiler cette réalité, la négation étant la première réaction et l’évocation du mystique la seconde.

En général, les familles préfèrent gérer le problème elles-mêmes, ne pas ébruiter l’affaire, au risque de jeter l’opprobre sur elles. Les conséquences de l’inceste peuvent ressurgir 10, 20 ans ou plus après les faits, lorsque la parole peut se libérer.

L’article 360 du code pénal camerounais stipule, en son alinéa 1 que : Est puni d’un emprisonnement de un à trois ans et d’une amende de 20.000 à 500.000 francs celui qui a des rapports sexuels : avec ses ascendants ou descendants légitimes ou naturels, sans limitation de degré ; avec ses frères ou sœurs légitimes ou naturels, germains, consanguins ou utérins.

De plus, selon l’alinéa 2 du même article, hors les cas de concubinage notoire ou de mariage incestueux, la poursuite ne peut être engagée que sur plainte d’un des parents par le sang sans limitation de degré.

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