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Tanzanie : les bébés Lionnes séquestrées libérées

Leur libération ainsi que celle de leurs encadreurs a été obtenue hier mercredi, grâce à l’intervention du président de la Fecafoot, Samuel Eto’o.

Heureux dénouement de l’affaire des Lionnes U17 séquestrées en Tanzanie. Les sept joueuses et deux encadreurs retenus à Zanzibar au lendemain du match Tanzanie # Cameroun de dimanche dernier ont tous été relâchés hier mercredi.

Selon des sources concordantes, c’est dans le vol spécial ayant à bord les Lions indomptables (de retour de Dar Es Salam où ils croisent cette mi-journée le Burundi dans le cadre des éliminatoires de la Can 2023) que les désormais « ex-otages » atterriront ce jeudi à Yaoundé.

En effet, c’est grâce à l’intervention musclée du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto’o Fils, que la situation des bébés Lionnes s’est décantée.

Aussitôt arrivé à Dar Es Salam, ville hôte du match Burundi # Cameroun, le patron de la Fecafoot a pris la direction de Zanzibar où les filles et leurs dirigeants étaient bloqués dans des chambres d’hôtel. Une fois sur les lieux, le patron du football camerounais a entamé des échanges avec les autorités tanzaniennes surplace avec pour maître-mot : la libération immédiate de ses compatriotes.

« Il (Samuel Eto’o, ndlr) a appelé les autorités. Les gens se sont rapidement réunis et ils nous ont libérés. Les autorités ne savaient même pas pourquoi nous étions là. C’est leur médecin Caf, une femme, qui a fait le faux, question de nous retenir. C’est le président de leur fédération avec une autorité qui sont venus nous relâcher », raconte le sélectionneur des bébés Lionnes, Stéphane Ndzana.

Après leur relâchement, les filles séquestrées ont rejoint le président de la Fecafoot ainsi que leurs encadreurs libérés dans la salle de réunion de l’hôtel. C’est Samuel Eto’o en personne qui leur a annoncé la bonne nouvelle qui vient ainsi mettre fin à un feuilleton de deux jours. Pour rappel, sept filles et deux encadreurs camerounais étaient retenus à Zanzibar parce que « testés positifs au coronavirus ».

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