fbpx

Cameroun Actuel

Gilles Courteau remet sa démission

Le commissaire de la Ligue de hockey junior majeur du Québec, Gilles Courteau, a remis sa démission dimanche.

• Lisez aussi : Initiations dégradantes : Legault inquiet des « déclarations contradictoires » de Gilles Courteau

• Lisez aussi : Initiations dégradantes: Courteau doit retourner en commission parlementaire, estime Isabelle Charest

• Lisez aussi : Commissaire de la LHJMQ : Québec solidaire veut la démission immédiate de Gilles Courteau

L’homme de 65 ans en a fait l’annonce dans une lettre publiée sur ses réseaux sociaux. Il sera remplacé par intérim par Martin Lavallée, qui était son adjoint.

« Je ne suis plus le commissaire de la LHJMQ », écrit-il dans sa missive. Quand on a consacré la majeure partie de sa vie à une organisation, il est difficile de se rendre compte que le moment est venu de passer le flambeau. Bien que ce ne soit pas une décision facile à prendre, elle est nécessaire.

« De plus, les événements récents ont pris de telles proportions que les membres de ma famille ressentaient la pression. Persister aurait été de l’entêtement », a ajouté Courteau.

L’homme qui était en poste depuis 1986 est actuellement au coeur d’une tempête liée au scandale des initiations dans le monde du hockey. Appelé à témoigner devant une commission parlementaire à Québec le 23 février, Courteau a répondu aux questions des députés de l’Assemblée nationale à la suite des révélations de Radio-Canada sur la demande de recours collectif menée notamment par l’ancien joueur de la LNH Daniel Carcillo et au cours de laquelle des barbares des actes lors de rites d’initiation dans la Ligue canadienne de hockey (LCH) ont été révélés.

Lors de la mêlée de presse qui a suivi, le commissaire de circuit a révélé qu’une seule des quelque 20 déclarations sous serment du recours collectif avait été signée par l’ancien de la LHJMQ Stephen Quirk. , pour des événements survenus entre 1995 et 1998. Il porte alors les couleurs des Alpines, une équipe devenue les Wildcats de Moncton.

« Et il n’y a rien de connotation sexuelle dans ce qui est dit dans son affidavit », a-t-il assuré aux médias.

Cependant, il semble que M. Courteau ait fait fausse route. M. Quirk raconte, entre autres, que ses coéquipiers ont pris « une crème analgésique chauffée et ils l’ont insérée dans [son] anus dans [le] pénétrant avec leurs doigts.

Toutes les actualités du site n’expriment pas le point de vue du site, mais nous transmettons cette actualité automatiquement et la traduisons grâce à une technologie programmatique sur le site et…

Lire la suite de l’article sur nouvelles-dujour.com

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dernières nouvelles

Suivez-nous !

Lire aussi