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Dieudonné Essomba : « Martinez Zogo n’était qu’une caisse de résonance sans nuisance particulière »

Le fusil de Kakou Ananzè

Ce matin, les réseaux sociaux se sont réveillés avec le triomphe hilare de tous les gueux pour qui Amougou Belinga représente le principal écueil de leur vie.

Et maintenant qu’il est interpelé, leurs poches trouées se sont remplies d’argent. Les salaires ont augmenté, les routes refaites

Mais rira bien qui rira le dernier. Cette police, cette gendarmerie et cette justice, moquées en permanence pour leur incompétence, sont formées de gens bien plus intelligents qu’on ne le croit leurs détracteurs.

Et ce n’est pas le scénario cousu de fil blanc et bourré d’artifice qu’on nous sert dans les médias qui pourra faire tomber des honnêtes gens.

Même SAS n’aurait pu imaginer quelques chose de plus fou : Amougou Belinga se serait offusqué des ragots qui inondent INTERNET et, avec son argent, il aurait acheté la conscience des hauts cadres de la DGRE pour enlever et intimider Zogo qui n’était qu’une caisse de résonnance par ailleurs sans nuisance particulière.

Ces hauts cadres de l’espionnage d’Etat auraient conduit Zogo sous les sous-sols de l’Immeuble Ekang, infrastructure abhorrée, pour le torturer. Devant Amougou Belinga qui lui donnait des coups de pied en lui demandant de faire amende honorable.

Mais devant le refus du supplicié, Amougou aurait appelé le Ministre Esso, un vieux magistrat blanchi sous le harnais , ayant occupée tous les plus hauts postes stratégiques de la République !

Et c’est ce Laurent ESSO qui aurait alors, évoquant le cas de Paul Chouta, demandé de le finir.

D’où l’exécution finale, et le dépôt de son corps supplicié dans un terrain vague, à côté de la maison du beau-père d’Amougou Belinga, le digne colonel en retraite Etoundi Nsoe !

Comme par hasard !

Et paradoxe ! Dès que le colonel chargé des Opérations de la DGRE a été interpellé, il se met spontanément à table, décrivant méthodiquement et de manière très circonstanciée le meurtre, avec l’aisance d’un individu qui lit un scénario décrite par avance.

Un colonel, Chef d’un service d’espionnage, et qui se met aussi spontanément à table, et sans la moindre torture !
Trop beau pour être vrai !

Bien mieux, toutes les dépositions faites par ces assassins se retrouvent, comme par magie, entre les mains des médias internationaux qui n’en demandaient pas tant et qui les relaient en boucle !

Le fusil de Kakou Ananzè : un seul coup, une seule balle et 4 ennemis tombent : Amougou Belinga, Laurent Esso, Motaze, Eko Eko… Ne restent plus que les deux derniers remparts: Mvondo Ayolo et Frank Biya lui-même !
De qui se moque-t-on ? Le mensonge qu’on veut imposer au public est trop gros pour passer et les vrais assassins de Martinez seront connus et châtiés suivant la loi.

Qu’on ne se fasse aucune illusion là-dessus.

Quant à Amougou Belinga, quoi de plus normal qu’il soit interpellé dès lors qu’il a été désigné comme commanditaire ? Il est trop puissant ! Tellement puissant qu’il est capable d’imposer à une institution d’espionnage un crime crapuleux ! IL ne représente rien dans les institutions, mais il gère la ligne 94 et ses milliards!

Quand on a des milliards, on peut embarquer tout le monde dans un projet fou, om aucune ne peut dire : améliorons quand même notre assassinat de manière à éviter qu’on nous suspecte !

Mais aussi invraisemblable que soit le scénario, la police et la gendarmerie doivent faire le travail.

Amougou Belinga reste cependant serein.

Et les prochains jours dévoileront dans toute sa monstrueuse étendue l’immonde pourriture qui se cache au Cameroun.

Dieudonné ESSOMBA

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