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Faits divers : « J’ai découvert qu’on était cinq… et sa mère nous aimait toutes »

C’est une histoire à la fois drôle et amère d’une jeune femme qui pensait avoir trouvé l’amour parfait avant de découvrir que son “ex d’Harvard de Melen” menait une véritable vie parallèle… bénie par sa propre mère.

Lire sont témoignage :

« J’ai trop envie de vous raconter l’histoire de mon ex d’Harvard de Melen. Je précise d’abord que c’est le seul enfant de sa mère, son « devant-derrière ». On s’est connus par l’intermédiaire d’une amie : il avait vu une photo de moi en statut et il a tellement insisté qu’elle a finalement cédé. C’est comme ça qu’on a commencé à discuter et, finalement, on a accroché.

Tout allait bien et, naturellement, il m’avait présenté à sa mère avec qui le courant passait bien. On s’échangeait des messages, des appels, bref, c’était l’amour. Un jour, comme il n’était pas dans la ville, il me dit : « Ma mère, c’est mon tout. Donc, en mon absence, il faut que tu ailles au moins lui rendre visite pour réchauffer son cœur. »

Comme je m’entendais bien avec elle et que c’était une initiative de mon chéri, je programme donc un week-end pour m’y rendre. Elle m’a reçue le vendredi soir normalement, on est même sorties. Le samedi, j’ai rangé sa chambre à lui, car il y avait du désordre à cause de son précédent voyage. C’est là que je tombe sur un téléphone. Toute curieuse, je décide de l’allumer et je vais dans les conversations. Et que vois-je ? Elle nous connaissait toutes !

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Elle se chamaillait avec lui à propos de sa préférée, qu’elle jugeait « pas à la hauteur ». Et lui répondait :

« Quand toi tu doutais de moi, elle était là. Donc tu vas seulement l’accepter. »

Quant à nous autres, elle disait : « Oui, je l’aime bien. » Une autre aussi : « Je l’aime. » En réalité, dans ce championnat, nous étions peut-être cinq, et son cœur était aussi grand que celui de son fils.

Le plus difficile après cette découverte, c’est qu’elle avait déjà défait ses cheveux et je devais lui faire les tresses. Pendant ce moment, on discutait, elle me racontait sa grossesse, comment il avait grandi, bref de petites confidences en mode : « C’est pour toi ma fille. » Pourtant…

Conclusion : restez polies et courtoises avec les mamans de vos gars et de vos copines, mais n’oubliez jamais que vous ne passerez pas avant leurs neuf mois. Et ça, peu importe. Quand tu comprends ça, tu vis bien. » »

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