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Calixte Beyala encense la police nationale et son chef Martin Mbarga Nguelé

L’auteure de « Les honneurs perdus » pense que ce corps de la fonction publique est l’un des plus professionnels en Afrique, et s’offusque des écarts de comportement de certaines personnalités à l’égard de ces hommes et femmes en tenues.

Des dithyrambes à l’honneur de la police camerounaise. On n’en voit pas tous les jours, tant les hommes en tenue sont souvent mangés à toutes les sauces, considérés par une partie de l’opinion comme le corps de la fonction publique camerounaise le plus corrompu, avec des éléments agressifs et non soucieux de certaines valeurs humaines.

Ce n’est pas la même lecture que fait la romancière Calixte Beyala de ce corps de métier. L’auteure de « Les honneurs perdus » pense que notre police est « l’une des plus professionnelles en Afrique ! », tenue des mains de maitre par le patriarche Martin Mbarga Nguelé, 90 ans. Elle s’offusque par ailleurs de l’attitude de certaines personnalités et célébrités face à ces hommes en exercice. « Il me semble injuste à chaque fois que certaines soi-disant  » personnalités  » leur manquent de respect », commente-t-elle sur son compte Facebook.

L’écrivaine fait sans doute allusion à la récente affaire concernant la musicienne Blanche Bailly, qui a affiché une attitude réfractaire lors de son interpellation mardi dernier à son domicile à Buea au Sud-Ouest par certains hommes en tenue, pour une affaire présumée de « recel ».

Pour sa part, Calixte Beyala assure qu’elle s’est toujours montrée respectueuse des policiers camerounais, malgré sa stature de personnage public. « Quand ces policiers m’interpellent, je m’arrête toujours. Obtempérer n’est pas une faiblesse, mais une force, une occasion de faire en sorte que quelque chose  marche dans ce pays où tout va de travers », développe-t-elle.

CIN

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