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Réseaux sociaux. Paresse, goût de la vie aisée, convoitise… : voici pourquoi les jeunes se lancent dans la vulgarité

Paresse, goût de la vie aisée, misère, convoitise, commodité, recherche d’un emploi bien rémunéré ou des faveurs divines, sont autant de motivations qui poussent aujourd’hui les jeunes femmes et hommes à se lancer dans la vulgarité.

Alors que les réseaux sociaux offrent un accès aux informations et à des discussions inégalées, l’ère numérique actuelle facilite également les activités frauduleuses, malhonnêtes voire déshonorantes.

C’est le cas de l’affaire Dubaï Porta Porty qui a fait tâche d’huile sur les médias sociaux il y a plusieurs jours. Il s’agit d’un fameux réseau de prostitution qui sévit à Dubaï. Les initiés se livrent à des pratiques sexuelles mêlant scatophilie et zoophilie. Ces femmes sont utilisées et traitées de la même manière que les toilettes.

A la fin de ces pratiques, elles sont lavées avec d’énormes sommes d’argent en dollars. Ce qui leur permet d’émasculer leur état avec des looks brillants et fantaisistes sur les plateformes digitales.

« Aujourd’hui, de nombreuses femmes sont prêtes à faire l’impensable pour de l’argent. Sur les comptes Instagram de ces influenceurs et influenceuses qui vont à Dubaï, vous pouvez voir de belles photos en jet privé, dans le désert, dans de magnifiques suites. Mais tout cela a un prix », déplore un sociologue.

Un rêve erroné et éphémère que convoite plus d’une jeune femme de nos jours. Prenons pour exemple Christelle Biloa Atangana connue sous le pseudonyme de Cynthia Fiangan alias « chocolat de mer », qui a fini par convoiter la vie des influenceurs qu’elle prend pour modèles, en publiant elle-même ses propres nudes sur les réseaux sociaux.

A côté des professionnels du sexe, il y a des personnes qui sont esclaves de réseaux mafieux. La plupart proviennent des familles démunies à la recherche d’un travail bien rémunéré ; et d’autres sont à la quête d’astuces pour procréer et des faveurs divines. Malheureusement, elles tombent entre les mains des personnes mal intentionnées qui les utilisent à d’autres fins.

Tels sont les cas de faux pasteurs, marabouts, charlatans et les diseurs de bonnes aventures. La paresse, le goût de la vie facile s’imbriquent toujours comme la cause de ceux qui refusent de travailler pour pouvoir vivre aisément ou subvenir à leurs besoins. Pour bon nombre de personnes, la misère, la pauvreté, la convoitise peuvent aussi pousser de jeunes femmes et hommes à se lancer dans des activités malhonnêtes sur internet.

A l’exemple de l’escroquerie, de l’arnaque, du piratage des comptes, des faux profils, de faux articles sur les réseaux sociaux, à Thameçonnage des mots de passe des compt es financiers ; ces escrocs ont trouvé d’innombrables manières de voler de l’argent.

Nous pouvons également évoquer des raisons sociologiques pour expliquer la recrudescence de ces fléaux. Notons aussi les causes politiques, la gabegie financière, la corruption et la mauvaise gouvernance qui conduisent les populations à être abandonnées à leur propre sort.

A cela, s’ajoutent les conflits et guerres civiles avec leur lot de misère et d’exactions criminelles. D’où la principale cause, la recherche effrénée de l’argent à tout prix et à tous les prix. Les cas de Cynthia Fiangan et de Dubaï, cités depuis plusieurs jours dans les réseaux sociaux, sont de parfaits exemples.

A la question de savoir ce qui peut bien pousser une personne dotée de toutes ses facultés mentales à subir perpétuellement toutes sortes d’arnaque et extorsions, de nombreux arguments sont avancés par des victimes notamment le souhait de procréer, le fait d’être délivré d’un démon familial, la convoitise, l’envie, etc.

L’Anecdote

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