La mort tragique de Rebecca Cheptegei, athlète olympique ougandaise, continue de susciter colère et indignation au Kenya. Brûlée à 80 % par son partenaire lors d’un acte de violence domestique, Rebecca a succombé à ses blessures après avoir été transférée à l’hôpital de Moi.
Ce crime passionnel met en lumière les graves lacunes dans la protection des femmes contre la violence domestique en Afrique de l’Est. Wamuyu Wachira, une résidente de Nairobi, a exprimé son indignation face à cette tragédie, soulignant que « la situation de Rebecca est une histoire effroyable de la manière dont les femmes continuent de souffrir de la violence de la part des hommes ». Elle appelle à des réformes urgentes pour que justice soit rendue et que des systèmes efficaces soient mis en place pour protéger les femmes.
Wanjiku, une autre résidente de Nairobi, rappelle que de tels drames se produisent fréquemment. Elle estime que, comme société, il est impératif d’examiner les causes profondes qui conduisent à ces violences.
La disparition de Rebecca Cheptegei renforce l’urgence de prendre des mesures concrètes pour prévenir ces actes de violence et garantir la sécurité des femmes. Ce drame souligne la nécessité de réformes légales et sociales pour enrayer cette épidémie silencieuse et insupportable de violence domestique.