Samuel Eto’o ne s’est jamais contenté d’être une légende sur le terrain. Son plus grand match, il le joue en dehors des stades, avec une ambition claire : transformer le football africain en une force autonome et prospère.
Dans Samuel Eto’o, une vision, un espoir, il exprime sa volonté de bâtir un système où les talents africains seront enfin valorisés, où les clubs locaux prospéreront et où les jeunes auront de réelles opportunités. Mais surtout, il aspire à une CAF indépendante, qui ne serait plus une simple caisse de résonance de la FIFA.
« Mon plus grand match ne se joue pas sur le terrain, mais dans la manière dont je peux aider l’Afrique à réaliser son potentiel », confie-t-il. Diriger la CAF représenterait l’ultime défi de sa carrière, un combat bien plus grand que n’importe quelle finale disputée. Car au-delà des trophées, le véritable héritage d’un champion se mesure en vies transformées et en rêves réalisés.
Extrait du livre « Samuel Eto’o une vision un espoir« , page 147 :
« Avec passion, détermination et une vision audacieuse, il travaillera à construire un système où le talent africain sera valorisé, où les clubs locaux prospèreront, et où les jeunes auront des opportunités à portée de main et surtout où la CAF ne sera plus jamais une caisse de résonnance de la FIFA. Puisse ce rêve se réaliser !
Eto’o a souvent dit : «< Mon plus grand match ne se joue pas sur le terrain, mais dans la manière dont je peux aider l’Afrique à réaliser son potentiel. >> Diriger la CAF sera un grand match que Samuel devra jouer et gagner.
En réalisant ce rêve de millions de ses fans et en s’impliquant dans cette mission, il rappellera de la plus belle des manières que le véritable héritage d’un champion ne se mesure pas seulement en trophées, mais en vies transformées et en rêves réalisés pour un continent tout entier« .
