Dans un récent rebondissement, la chanteuse Mani Bella est entrée en conflit avec le blogueur Peupah Zouzoua suite à une publication controversée de ce dernier. Cette altercation en ligne a conduit Mani Bella à menacer de prendre des mesures légales à l’encontre du blogueur.
L’incident a débuté lorsque Peupah Zouzoua a publié un article sur sa page Facebook dans lequel il évoquait la peau de la chanteuse. Il a souligné que bien que Mani Bella se soit peut-être éloignée des produits décapants depuis près de 3 ans, sa peau ne paraissait toujours pas au meilleur de sa forme. Il a même suggéré qu’elle aurait pu replonger dans l’utilisation des huiles éclaircissantes.
Cette publication n’a pas du tout plu à Mani Bella, qui a réagi vivement en demandant le retrait immédiat de l’article ainsi que de l’image utilisée. Elle a rappelé à Peupah Zouzoua ses difficultés passées et lui a demandé de ne pas jouer avec son image. Elle lui a donné un ultimatum d’une heure pour supprimer l’article, sinon elle envisageait de passer par un huissier pour constater les faits et entamer une citation directe.
Il convient de rappeler que Mani Bella s’est engagée dans un combat pour retrouver un teint normal après avoir abandonné le blanchiment de la peau. Elle a même lancé un mouvement encourageant la jeunesse à éviter cette pratique. Les commentaires de Peupah Zouzoua ont donc touché une corde sensible chez la chanteuse.
Cette nouvelle polémique entre les deux personnalités sera certainement suivie de près. Les tensions montent et il est possible que cette affaire se retrouve devant le CED de Yaoundé. Nous restons attentifs à l’évolution de cette situation délicate, qui met en lumière les enjeux liés à la liberté d’expression et à l’image des personnalités publiques sur les réseaux sociaux.
- Littérature : Marafa Hamidou Yaya publie « Le choix de l’espoir » depuis sa cellule à Kondengui - 20 juin 2025
- RDPC : la justice se déclare incompétente pour statuer sur la légitimité de Paul Biya - 20 juin 2025
- Feuilleton politico-judiciaire du PCRN : quand la justice parle, mais que le silence de l’obéissance tarde - 20 juin 2025
