Un mois avant l’attaque du dimanche 15 janvier, attribuée à un groupe soutenu par l’État islamique, qui a tué quatorze personnes dans une église du Nord-Kivu, un rapport d’experts de l’ONU soulignait la recrudescence de ses activités, et accusait formellement l’armée rwandaise de aider les rebelles congolais du M23.
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