Umaro Sissoco Embalo, le président bissau-guinéen et président en exercice de la conférence des chefs d’État de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), est monté au créneau pour interpeller les autorités tunisiennes à propos des violences perpétrées contre des migrants africains.
Le président en exercice de la CEDEAO, Umaro Sissoco Embalo, se dit préoccupé par la situation des migrants en Tunisie. Il n’a pas hésité à demander aux plus hautes autorités tunisiennes de mettre fin aux violences qui visent les ressortissants d’Afrique sub-saharienne en Tunisie.
« En tant que Président en exercice de la CEDEAO, nous sommes préoccupés et suivons de près la situation des migrants à Sfax en Tunisie. Nous espérons que les autorités tunisiennes, en tant que pays partageant le même continent, mettront un terme à ces violences envers des frères africains », a écrit sur Twitter Umaro Sissoco Embaló.
ATS
Ce président et les autres qui appartiennent à la CEDEAO et au Francs CFA devraient se battre pour leur pays quand ils sont au pouvoir et ont l’ obligation d’ offrir des conditions de vie décente à leur peuple dans leur propre pays au lieu de vouloir les imposer aux autres pays. Oui nous faisons partie tous de l’ Afrique, oui nous sommes tous des frères. Mais est-ce une raison pour que mon propre frère casse la porte de ma maison et
s’ installe dans mon lit et ma cuisine sans que je ne réagisse. Il n’ est pas dans l’ habitude des africains de procéder ainsi. Quand aux ONG qui semblent se préocupper de ces personnes poussées à partir de chez elles, qu’ elles tiennent enfin leurs promesses et
qu’ elles commencent a affrêter des avions et des bateaux et viennent récupérer tous ces malheureux pour les installer en Europe car là est leur rêve ultime.