Shakila : l’influenceuse kényane révèle qu’elle se fait tatouer ses ex-petits amis lorsqu’ils décèdent

Dans une récente interview sur YouTube, l’influenceuse kényane Shakila a partagé des détails sur les nombreux tatouages ​​qui ornent son corps, ainsi que leur signification personnelle. Parmi les informations les plus surprenantes, Shakila a révélé qu’elle se fait tatouer ses ex-petits amis lorsqu’ils décèdent.

Avec un total de 19 tatouages, dont 11 représentent ses ex-petits amis, Shakila explique que son premier tatouage a été réalisé peu après la mort de son ex-petit-ami. Elle considère ces tatouages ​​comme une manière de commémorer leur mémoire et de garder un lien avec eux, même après leur disparition.

Le tatouage le plus inspirant pour Shakila est celui du visage de son meilleur ami. Selon elle, chaque tatouage représente une personne importante dans sa vie, et les ex-petits amis décédés occupent une place particulière dans son cœur.

En plus de ses tatouages, Shakila a également révélé qu’elle ne compte plus le nombre d’hommes avec qui elle a eu des relations sexuelles. Surnommée la « Reine des rues », elle admet que si elle commençait à compter, cela la rendrait folle. Elle affirme honnêtement ne pas se souvenir de tous les détails.

Ces révélations de Shakila ont suscité des réactions mitigées parmi ses fans et les internautes. Certains saluent son honnêteté et sa manière unique de rendre hommage à ses ex-petits amis, tandis que d’autres remettent en question son choix de se faire tatouer les visages de ses ex-petits amis décédés.

Quoi qu’il en soit, il est indéniable que Shakila utilise les tatouages ​​comme un moyen de s’exprimer et de se souvenir de personnes qui ont marqué sa vie. Chacun a sa propre façon de faire face au deuil, et pour Shakila, cela passe par l’art corporel.

Il est important de respecter les choix et les décisions de chacun, même si cela peut sembler inhabituel ou controversé. Les tatouages ​​de Shakila sont une partie intégrante de son identité et de son histoire personnelle, et ils méritent d’être compris et respectés en tant que tels.