Un chroniqueur sportif soulève une question épineuse dans le monde du football camerounais : l’ingérence politique et ses répercussions sur le recrutement des entraîneurs pour l’équipe nationale, les Lions Indomptables.
Face aux récentes nominations contestées, l’éminent commentateur sportif exprime son scepticisme quant à la possibilité pour des figures renommées du football d’accepter le poste de sélectionneur national. Des noms tels que Mourinho, Conceicao ou SaintFiet ont été écartés, suscitant des interrogations sur la viabilité d’une telle nomination dans le contexte actuel, marqué par des tensions et des controverses.
La nomination de Marc Brys à la tête des Lions Indomptables a soulevé des questions sur l’ingérence dans les affaires de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot). Le chroniqueur se demande où tracer la ligne entre l’ingérence politique et les prérogatives de la Fecafoot dans le processus de nomination des entraîneurs nationaux.
Selon les principes de la FIFA, chaque association membre doit jouir d’une indépendance et d’une autonomie, préservées de toute ingérence extérieure, qu’elle soit étatique ou autre. Les conséquences de l’ingérence sont multiples et affectent profondément le fonctionnement et l’image du football national.
La question de savoir si une nomination de coach et de staff peut être considérée comme de l’ingérence reste en suspens. Cependant, le chroniqueur soulève un point crucial : la nécessité de respecter l’indépendance des fédérations et de préserver l’intégrité du football camerounais.
