Les populations du département du Nyong et Mfoumou, dans la région du Centre, dorment avec un oeil ouvert face à ce qu’ils considèrent comme crimes rituels.
Selon les informations qui nous parviennent de ce département, les femmes sont traquées en ces jours par de curieux prédateurs invisibles opérant à l’apparition de la lune.
Selon le lanceur d’alertes Nzui Manto, la première victime se trouve en ce moment à la morgue la cage thoracique vide, le contenu vidé par son agresseur. L’attaque a eu lieu à Monengombo, village de l’ancienne première dame.
À Endom samedi soir une autre femme a été poignardée mortellement et son cœur arraché ! Les élites de cette partie de la région Centre soupçonnées d’être impliquées dans le trafic d’organes sont pour le moment silencieuses.
Le cœur et le clitoris seraient deux organes incontournables pour certaines pratiques sombres destinées à se maintenir aux différents postes de responsabilité.
Les enlèvements d’enfants, les mutilations de cadavres et les trafics d’organes sont en recrudescence au Cameroun, dans le cadre de pratiques rituelles à des fins d’obtention de pouvoir ou d’enrichissement.
