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Cinq ans après l’accident de Humboldt, il s’accroche toujours à ses rêves

Contre toute attente, Ryan Straschnitzki, 23 ans, parvient toujours à faire preuve d’optimisme et de persévérance, cinq ans après avoir été l’une des victimes de l’accident de bus meurtrier des Humboldt Broncos.

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Après cet incident qui a marqué l’histoire de la Saskatchewan et du monde du hockey, Straschnitzki aurait facilement pu baisser les bras. Paralysé, les médecins ont relevé à 2% les chances qu’il puisse remarcher dans sa vie.

Mais il « n’allait pas laisser les médecins dicter le reste de sa vie », a-t-il déclaré au journaliste Calvin Daniels de Sask Today.

«La détermination, c’est traverser les moments les plus difficiles. Quand la vie est dure, c’est [important] continuer à travailler dur et à persévérer.

Après une longue rééducation, au cours de laquelle il a vécu plusieurs grands moments de frustration, il peut désormais se tenir debout sans appui et même effectuer un swing de golf.

Straschnitzki, cependant, n’a jamais voulu faire carrière sur les greens. Son cœur et sa tête appartiennent toujours au sport d’hiver national canadien. La preuve : il n’a attendu que quatre mois après l’accident pour retourner sur la glace et déterminer « jusqu’où il pouvait aller avec le [hockey sur luge].”

« En fin de compte, je suis un athlète », a-t-il déclaré. Je veux recommencer à jouer au hockey. Cela fait partie intégrante de mon identité. »

Ainsi, le natif d’Airdrie, en Alberta, ne vise rien de moins qu’un poste au sein de l’équipe canadienne de para-hockey sur glace.

« Je continue à travailler dessus, a-t-il conclu. J’espère gagner une médaille un jour.

Une scène d’horreur

Ryan Straschnitzki se souvient très peu de la journée du 6 avril 2018. Cependant, il est toujours hanté par certains souvenirs glaçants.

« J’ai entendu un cri à l’avant du bus, a-t-il confié, ajoutant qu’il avait aperçu brièvement la semi-remorque qui allait percuter le bus et coûter la vie à 13 personnes. Puis : « boum ». Et rien après. »

Il tenta de se relever, en vain, et il dut attendre de longues minutes avant qu’un passant ne vienne à son secours.

« Quand tu as 18 ans et que tu es isolé et impuissant, tu as très peur. »

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