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Allocations sociales, fin de la trêve hivernale, audit énergétique… ce qui change à partir du 1er avril 2023

Allocations sociales en hausse de 1,6%, hausse des allocations chômage de 1,9%, fin de la trêve hivernale, audit énergétique obligatoire… Tour d’horizon de ce changement en France à partir du 1er avril 2023.

Comme à chaque début de mois, une nouvelle vague de mesures entrera en vigueur le 1er avril. Avec des répercussions directes sur le quotidien des Français pour certains d’entre eux. Aperçu.

• RSA, prime d’activité, allocations familiales, AAH

Les prestations sociales, notamment le RSA, la prime d’activité et les allocations familiales, augmenteront de 1,6 % au 1er avril, ont annoncé le 22 mars le ministère des Solidarités et des associations pour les plus précaires, ces dernières critiquant une augmentation très insuffisante à leurs yeux.

Cette revalorisation a été calculée à partir de la moyenne des taux d’inflation mensuels sur un an, soit +5,6% par rapport à avril 2022. Mais la hausse réelle d’avril 2023 a été ramenée à 1,6%, le gouvernement ayant pris en compte la augmentation exceptionnelle de 4% accordé « par anticipation » en juillet 2022.

Cette hausse de 1,6 % concerne également l’AAH (allocation adulte handicapé) qui passe de 956,65 à 971,96 euros par mois, soit une augmentation de 15,30 euros.

LE prestations d’assurance-chômage sont revalorisés de 1,9% à partir du 1er avril, un coup de pouce exceptionnel dû à l’inflation. La décision a été prise le 24 mars lors d’un conseil d’administration de l’Unédic. « Cela fait suite à une initiative collective des syndicats qui, face à une inflation galopante et à la baisse du pouvoir d’achat des demandeurs d’emploi, ont demandé et obtenu cette revalorisation », s’est félicité Force Ouvrière dans un communiqué. .

FO a salué « une première » car jusque-là, une seule revalorisation avait lieu par an au 1er juillet. La CGT a cependant déploré que le patronat n’ait « pas concédé plus d’une revalorisation de 1,9% en totale déconnexion avec la précarité des chômeurs ». mais, aussi, avec les augmentations des minima sociaux et du Smic ».

Pendant 5 mois, la plupart des procédures d’expulsion ont été suspendues, la trêve hivernale du 1er novembre au 31 mars. Il se terminera le 1er avril. Les propriétaires pourront à nouveau voir des locataires mauvais payeurs expulsés. Ce principe de trêve hivernale a également été étendu aux coupures de gaz et d’électricité. Depuis deux ans, en raison de la pandémie, la trêve hivernale durait jusqu’au 10 juillet 2020 et jusqu’au 1er juin 2021.

La trêve d’hiver est née après un appel de l’abbé Pierre en 1954 et a été consacrée dans la loi en 1956. Initialement fixée du 1er décembre au 15 mars, elle a été prolongée à plusieurs reprises. Depuis 2014, il s’applique du 1er novembre au 31 mars. Pendant cette période, la loi interdit l’expulsion de la grande majorité des locataires de leur logement. Depuis 2017, elle…

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