Un incident inquiétant s’est produit à la morgue Prestige de l’arrondissement de Babadjou le vendredi 11 avril. Une famille a découvert que certaines parties du corps de leur proche (notamment une partie du visage et une partie de la cuisse) manquaient lors d’une cérémonie d’enlèvement du corps.
La défunte, Tedongmo Agnes, 48 ans, était conservée à la morgue, une structure destinée aux soins post-mortem.
« Nous avons conservé le corps de ma femme ici, à la morgue, le mardi 1er avril, en très bon état. Nous sommes surpris de découvrir qu’une partie de son corps a été enlevée. Le gardien nous a dit que des rats l’avaient mangé. Comment cela se fait-il ? », a interrogé Siméon Lepontouo, époux de la défunte.
Les autorités locales ont ouvert une enquête et des gendarmes de Babadjou ont été déployés sur les lieux pour déterminer la cause exacte de la mutilation.
Alors que les responsables de la morgue préfèrent garder le silence, certains spéculent sur une possible explication surnaturelle, tandis que d’autres soupçonnent que des animaux, comme des rats, auraient pu pénétrer dans la morgue et causer les dégâts.
La direction de la morgue, opérationnelle depuis un peu plus d’un an, affirme qu’il s’agit du premier incident de ce type. Elle collabore avec les enquêteurs pour clarifier les circonstances. La famille attend les résultats de l’enquête et de l’analyse médico-légale afin de comprendre précisément ce qui s’est passé.
La morgue est équipée d’un système de conservation des corps à sec de pointe. Aucun incident similaire n’a été signalé à ce jour.
