Et dix der pour le mode « duplicata » ! Le déplacement à Nanterre, ce dimanche 5 mars (21h05, 20e jour) et le dixième et dernier de cette période toujours périlleuse.
Le 20ème jour. Oui, vous avez bien lu. Nous sommes déjà au 20ème jour alors que mars vient juste de pointer le bout de son nez. Et c’est déjà l’heure des projections et des premiers calculs vers les étapes finales. Après cette rencontre contre le Racing, il ne restera plus que six jours avant les barrages que le Stadium souhaite évidemment éviter.
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Trois déplacements (Castres, Stade Français et Perpignan) pour trois réceptions (Lyon, Bordeaux et Brive). La qualification ne devrait pas tarder à arriver au regard de l’actuelle avance sur le septième. Le visa direct pour les demi-finales sera évidemment plus long à obtenir et nécessitera un parcours sans faute à domicile et un ou deux tirs à l’extérieur.
Toujours en position favorable
C’est aussi le moment de faire le point. Celle des doublons. Le Stade jouera son dernier match ce soir sans ses internationaux. A cause, précise-t-on, de la convention FFR – Ligue. Car dans trois semaines, quand le Top 14 reprendra à Castres, il va sans dire que les internationaux seront encore absents puisqu’ils sortiront de deux matches internationaux (Angleterre et Pays de Galles).
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Car il faudra gérer leur état de fatigue tout en n’opérant pas un énorme turnover pour retrouver des automatismes collectifs avant le huitième de finale de la Champions Cup face aux Bulls, le week-end d’après.
Vous l’aurez compris, si la période des doublons se termine ce soir, le casse-tête du staff toulousain durera encore un peu.
Mais pour revenir au bilan, Clément Poitrenaud valide le terme favorable : « C’est probablement un Stade Toulousain comme on l’a dit et répété qui s’est mieux préparé aux périodes internationales, et qui en a pour l’instant dans tous les cas mieux gérés. » Et cela nous permet, contrairement à la saison dernière, au lieu de chuter dans le classement de rester dans une position favorable. »
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En effet, il n’y a pas grand chose à reprocher, à part l’échec offensif face à Toulon à Marseille. Mais se contenter de ce bilan ne serait pas digne du Stade Toulousain. Toute opportunité est bonne à saisir même dans une configuration encore bancale.
Car ce Racing ne respire pas actuellement la sérénité puisqu’il n’apparaît pas dans le six et récolte beaucoup de points à domicile tout en gardant néanmoins une belle régularité dans son « Arena » en termes de performances (huit…
