Le premier vol atterrit à l’aéroport de Stansted | nouvelles du monde

Un ressortissant britannique à Khartoum prévoit de marcher pendant quatre heures depuis son emplacement jusqu’à la piste d’atterrissage de Wadi Saeedna, malgré la menace d’être abattu et sans argent liquide, dans l’espoir d’embarquer sur un vol d’évacuation vers le Royaume-Uni.

Tarig Babikir, 42 ans, qui vivait à Coventry, a déclaré à l’agence de presse PA: « Je vais passer par des points de contrôle de l’armée nationale et des points de contrôle paramilitaires, et très probablement je vais également rencontrer des gangs armés.

« Je n’ai pas d’argent sur moi car vous pouvez vous faire voler dans la rue, et je vais cacher mon téléphone portable. »

La mère ukrainienne et le père soudanais de M. Babikir ont tous deux des visas britanniques expirés, il devra donc les laisser avec d’autres parents.

« Mon père se remet d’un accident vasculaire cérébral, mais la meilleure option pour le moment est de partir et je reviendrai probablement dans un mois », a-t-il déclaré.

Il a ajouté que le gouvernement britannique lui avait dit que deux vols d’évacuation devaient quitter Wadi Saeedna mercredi soir, et qu’il resterait chez un ami dans le Kent à son retour au Royaume-Uni, ajoutant: « C’est l’anarchie totale en ce moment, chaos complet. N’importe qui peut vous voler, n’importe qui peut vous tirer dessus.