L’enquête a révélé « de nombreux incidents » au cours desquels des agents ont répondu à l’affirmation d’une personne selon laquelle elle était incapable de respirer en lui disant « une version de » Vous pouvez respirer, vous parlez en ce moment « », selon le rapport.
Le rapport détaille également une tendance à violer les droits du premier amendement des manifestants et des journalistes et à discriminer les personnes ayant des troubles du comportement lorsqu’elles répondent à des appels d’assistance, en violation de l’Americans with Disabilities Act.
Des responsables de la ville de Minneapolis et du département de police de Minneapolis ont affirmé vendredi dans un communiqué leur volonté de collaborer avec le ministère de la Justice pour élaborer un décret de consentement.
« Ces conclusions sont une étape majeure dans la réforme de ce département en un département qui fournit un niveau de service qui sera un modèle pour les organismes d’application de la loi à travers le pays. À l’avenir, nous poursuivrons le processus de changement de la culture du département de police de Minneapolis pour assurer la sécurité et le bien-être de nos policiers et des habitants de cette ville », a déclaré le chef de la police de Minneapolis, Brian O’Hara, dans le communiqué. « Et le plus important est de rétablir la confiance entre ce département et les personnes qu’il sert. »
Le maire de Minneapolis, Jacob Frey, a qualifié la publication du rapport de « pas en avant essentiel pour la confiance et la sécurité de la communauté ».
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