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le chef de l’Etat veut une « contribution exceptionnelle » des grandes entreprises qui font des profits

Deux jours après l’adoption par l’Assemblée nationale de la très controversée réforme des retraites, Emmanuel Macron prend la parole pour s’adresser aux Français, ce mercredi 22 mars. Il accorde une interview diffusée en direct sur les journaux télévisés de 13 heures de TF1 et France 2. et suivez cette interview dans notre diffusion en direct.

Pour Emmanuel Macron, le recours au 49.3 est un « geste solennel »

Le chef de l’État soutient une nouvelle fois sa confiance en Élisabeth Borne et son gouvernement. « J’ai nommé Elisabeth Borne, elle doit avoir la confiance du Parlement. Elle a voulu engager la responsabilité de son gouvernement, c’est la 100e fois que nous le faisons dans notre République. C’est un geste très solennel. qu’il n’y a pas de majorité alternative. »

Emmanuel Macron demande au gouvernement de travailler sur une contribution exceptionnelle des grandes entreprises qui font des profits

Le président de la République revient aussi sur la réforme du RSA, avec « des droits et des devoirs renforcés » pour « le ramener à l’emploi ». Sur l’idée d’une contribution des grandes entreprises, le chef de l’Etat affirme qu’il ne s’agira pas d’un « impôt » sur les superprofits. Emmanuel Macron cite, entre autres, les entreprises qui parviennent aujourd’hui à « racheter leurs propres actions » grâce à leurs bénéfices.

« S’il faut entériner l’impopularité, je le ferai », estime le président de la République

« Les blocages doivent être levés lorsqu’ils empêchent le développement normal des activités »

Le chef de l’Etat vient justifier les réquisitions mises en place à proximité de certaines raffineries. « Nous ne tolérerons aucun débordement », appuie le président de la République. Emmanuel Macron affirme cependant avoir entendu un « sentiment d’injustice » : « Nous demandons en effet des efforts aux Français […] c’est à moi d’entendre la colère ».

« Des mots qui éclairent »

Le président de la République est revenu sur la sentence qui a été prononcée mardi. « La foule, quelle qu’elle soit, n’a aucune légitimité face au peuple qui s’exprime souverainement à travers ses élus » : « Ce sont des propos qui éclairent », affirme le chef de l’Etat qui estime qu’il y a des légitimités qui existent. » A côté de ça, quand des groupes usent d’une violence extrême pour s’en prendre aux élus de la République, parce qu’ils ne sont pas contents de quelque chose, c’est inacceptable […] Nous ne pouvons accepter ni les rebelles ni les factions ».

« Au moment où je vous parle, pensez-vous que cela me fait plaisir de faire cette réforme ? Non »

« On n’a pas réussi à partager la contrainte, la nécessité de faire cette réforme. Quand je suis entré dans la vie active, il y avait 10 millions de retraités. Aujourd’hui ils sont 17 millions »,…

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