Note de l’éditeur: Jeff Yang est directeur de recherche à l’Institute for the Future et à la tête de leur Digital Intelligence Lab. Collaborateur fréquent de CNN Opinion, il co-anime le podcast « They Call Us Bruce » et est co-auteur du livre « RISE : A Pop History of Asian America from the Nineties to Now ». Les opinions exprimées dans ce commentaire sont les siennes. Lire plus d’avis sur CNN.
CNN
—
Dans la perspective de la sortie de « Avatar: The Way of Water », le réalisateur James Cameron a giflé les critiques et les téléspectateurs qui avaient exprimé des doutes sur la pertinence continue de la franchise: « Les trolls veulent que personne n’en ait rien à foutre et ils ne se souviennent pas des noms des personnages ou d’une putain de chose qui s’est passée dans le film », a-t-il aboyé au magazine de cinéma britannique « Empire ». « Ensuite, ils voient à nouveau le film et disent: » Oh, d’accord, excusez-moi, laissez-moi juste fermer le f ** k tout de suite. Donc je ne m’inquiète pas pour ça. »
Eh bien, comptez-moi comme l’un des premiers sceptiques de l’entreprise Pandora de Cameron qui, après avoir été traîné dans «Avatar: The Way of Water» par mon fils de 14 ans pendant les vacances, a d’abord pensé que j’aurais dû fermer le f * *k vers le haut. Bien que je me sois rappelé avoir eu l’impression que l’original de 2009 était plus une expérience immersive étrangement rebutante qu’un véritable film, les instincts narratifs magistraux de Cameron et sa construction du monde complexe ont submergé mon cynisme réflexif… pendant la première demi-heure de « Way of Water ». s épique durée de trois heures, de toute façon.
Puis je suis arrivé au moment qui m’a rappelé pourquoi je trouvais le premier « Avatar » si inconfortable. L’ex-marine Jake Sully (Sam Worthington) – maintenant décanté de façon permanente dans son…
