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Emmanuel Macron conteste la « légitimité » de « la foule », avant de s’adresser aux Français

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Emmanuel Macron a estimé mardi soir 21 mars qu’il fallait « apaiser » et « écouter la colère » des Français, tout en affirmant que « la foule » n’avait aucune « légitimité » face aux élus.

Sur fond de nouvelles manifestations contre la réforme des retraites, Emmanuel Macron a estimé mardi soir qu’il fallait « apaiser » et « écouter la colère » des Français après l’adoption contestée du texte par le Parlement, tout en affirmant que « la foule « n’avait aucune « légitimité » face aux élus.

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Le chef de l’Etat s’est adressé aux parlementaires du camp présidentiel conviés à l’Elysée au terme d’une journée rythmée par des réunions de concertation avec des ministres et dirigeants de la Macronie. Et à la veille de son interview télévisée mercredi à 13h00 sur TF1 et France 2.

Il avait auparavant écarté les options les plus radicales pour relancer son quinquennat. Celle-ci semble déjà entravée après moins d’un an : lundi, l’adoption de sa réforme phare s’est faite dans la douleur et le gouvernement d’Elisabeth Borne a survécu de peu à une motion de censure interpartisane à l’Assemblée nationale. Dans la journée, le président Macron a reçu le Premier ministre, accompagné de plusieurs ministres, ainsi que les chefs de file de sa majorité relative.

Vers « un changement de méthode » ?

Plusieurs participants à cette réunion ont assuré à l’AFP que le chef de l’Etat n’avait pas l’intention de dissoudre l’Assemblée, de remanier le gouvernement, ni de convoquer un référendum sur la réforme repoussant l’âge de la retraite de 62 à 64 ans. L’option du retrait du texte, réclamée par les syndicats et les opposants, a également été écartée.

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Selon l’un de ces participants, il a demandé à ses troupes de faire « d’ici deux à trois semaines » des « propositions » de « changement de méthode et d’agenda de réformes ». Elisabeth Borne a elle aussi enchaîné les meetings, après avoir proclamé, à huis clos, que l’adoption du texte dans la douleur était malgré tout une « victoire ».

« Le Premier ministre est le seul, et notre majorité est la seule, qui peut aujourd’hui porter un projet de gouvernement », a assuré Olivier Véran, porte-parole du gouvernement.

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