Policy Exchange a déclaré que les groupes pourraient avoir une « contribution positive » à apporter, certains étant centrés sur la nationalité, la religion, y compris les humanistes et des antécédents tels que les Roms tziganes, mais a averti qu’ils risquaient d’être « une distraction importante de la mission principale de la police » d’assurer la sécurité du public.
Le groupe de réflexion a déclaré que c’était particulièrement le cas lorsque les groupes tentaient d’influencer la politique ou le gouvernement, citant l’Association nationale de la police musulmane (NAMP) et le Réseau national de la police LGBT+.
Le NAMP avait exhorté le ministère de l’Intérieur à abandonner des termes tels qu’islamiste ou djihadiste, car il affirmait que ces niveaux accrus d’islamophobie risquaient une plus grande radicalisation et abaissaient la confiance. Il a suggéré des alternatives telles que « l’extrémisme anti-occidental ».
« Il est difficile de concevoir une approche plus politique pour un réseau de personnel de police que de patauger dans la division traditionnelle gauche-droite de la politique britannique », a déclaré le rapport des anciens policiers du Met David Spencer et Chris Donaldson et du Dr Paul Stott. .
Ils ont déclaré que le NAMP avait également choisi de travailler avec un autre groupe, Muslim Engagement and Development (MEND), qui avait fait campagne contre le programme gouvernemental Prevent. « Ces partenariats sont sûrement, au mieux, une approche profondément imprudente pour une organisation de la police à entreprendre », ont-ils ajouté.
Le rapport cite le National LGBT + Network pour avoir exhorté les policiers à être autorisés à marcher à Pride, malgré la nature politique de l’événement, et fourni une plate-forme pour la campagne politique de groupes comme Stonewall et un article critiquant JK Rowling pour avoir alimenté le « vitriol » contre les personnes trans .
« La pratique du réseau consistant à s’égarer dans des activités politiques ou des commentaires inappropriés ne peut être autorisée étant donné l’importance vitale de l’impartialité des services de police », a déclaré le groupe de réflexion.
Policy Exchange a formulé sept recommandations visant à normaliser la gouvernance des groupes, à leur imposer de se concentrer sur «l’amélioration de l’efficacité des services de police au nom du grand public» et à limiter le temps de service de la police qui leur est consacré.
Un porte-parole du réseau national de police LGBT+ a déclaré : « Nous n’avons mené aucune campagne politique. Les membres d’un bout à l’autre du pays fournissent d’abord et avant tout des services de police de base. Le soutien au personnel en matière de bien-être et de bien-être est secondaire et principalement volontaire.
Le NAMP a été contacté pour commentaires.
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