Le journaliste, présentateur de l’émission “Clubs d’Elites“, Bruno Bidjang n’a pas pris beaucoup de temps pour répondre aux propos de Serge Branco.
Après quitté le plateau de l’émission dominicale, l’ancien footballeur camerounais a déclaré en avoir été chassé par le présentateur sur injonction du PDG.
« Je viens d’être exclu de l’émission de Vision 4 car le présentateur Bruno Bidjang m’a expliqué qu’en pleine émission le PDG de Vision 4 l’a appelé pour lui demander de m’exclure de l’émission parce que j’ai traité Awono d’énergumène. Pourquoi est-ce que je l’ai fait ? C’est parce que Awono a passé son temps à traiter le président de la FECAFOOT, le Docteur Samuel Eto’o de dictateur, de tous les noms d’oiseaux et il m’a traité d’Eto’o – Mouton », a déclaré Serge Branco.
Dans une publication sur les réseaux sociaux sous forme de mise au point, Bruno Bidjang déclare ne plus accepter d’injures sur son plateau. Face à la récidive de Serge Branco, il a demandé au réalisateur de lui faire le plateau de l’émission.
« Serge BRANCO, le mensonge a de courtes jambes. Dieu merci j’ai des témoins (les autres co panelistes). J’ai été clair, PLUS D’INJURES dans mon émission. Mais tu as récidivé. Alors à partir de ce moment j’assume mes responsabilités. Si tu cherches à aller au Qatar laisse le nom de Bidjang et de mon PDG. Awono l’a d’abord fait envers toi, je le lui ai dit et comme cela ne suffisait pas, tu as remis ça.
J’ai instruit à mon Réalisateur de te faire sortir poliment du plateau car tu es allé trop loin et je l’assume. Au sortir de l’émission, tout le monde est surpris de lire et écouter partout que tu racontes que le PDG m’a appelé en pleine émission et que j’aurai eu une conversation avec toi.
C’est quand même incroyable ce degré de malhonnêteté venant d’un adulte. Franchement cherche encore mieux pour aller au Qatar, ETOO est généreux , tu n’as même pas besoin de trop danser pour ça. Et Ton attitude d’aujourd’hui prouve le pourquoi tu es resté au Cameroun.
Je veux pas revenir sur d’autres choses, parce que si je parle , je suis sûre que Samuel ne te saluera plus jamais. »
