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Bayrou accuse Mélenchon d’alimenter « une stratégie de déstabilisation de notre société » — RT en français

L’insoumis Jean-Luc Mélenchon entretient « une stratégie de déstabilisation de notre société » en multipliant « les affrontements », a accusé sur Radio J le patron du MoDem, plaidant pour « l’ordre » contre « ceux qui voudraient obtenir le chaos ».

Le président du MoDem (allié d’Emmanuel Macron) François Bayrou a accusé Jean-Luc Mélenchon sur Radio J le 26 mars de déstabiliser « notre société » et soutenu « l’ordre » contre « ceux qui voudraient obtenir le chaos ».

Il estime ainsi que le leader insoumis a « une stratégie de déstabilisation de notre société, par la multiplication des affrontements. C’est une stratégie pour obtenir la mainmise sur la société par un mouvement idéologique qui imposerait son regard aux autres et c’est ce qu’on appelle une révolution », a argumenté François Bayrou.

Face à ce mouvement de contestation, François Bayrou affirme avoir « toujours été du côté des réformistes [qui disent] prends notre monde tel qu’il est. Car, « on ne peut pas trouver un pays dans lequel l’éducation est gratuite, la santé est gratuite, le chômage est garanti à tous et la retraite est garantie à tous », a insisté le Haut-commissariat au Plan.

François Bayrou a également fustigé le « mouvement de déstabilisation et de destruction », mené par les auteurs des violences dans les manifestations, « un mouvement réfléchi, concerté, sans aucun lien avec la réalité » fondé sur « une idéologie nihiliste » qui vise à « prendre le contrôle de société par la violence ».

Le 23 mars, lors des mobilisations contre la réforme des retraites, des affrontements ont eu lieu entre manifestants et forces de l’ordre. Le 25 mars, une manifestation interdite contre les bassins à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres a aussi tourné en échauffourées entre gendarmes et militants.

François Bayrou protège Emmanuel Macron

Face aux accusations de violences policières, François Bayrou a admis qu’il pouvait « y avoir des dérapages ».

Mais les policiers « ont des familles, ils ont des enfants, ils ont leurs soucis et leur situation n’est pas extraordinaire », a-t-il dit. « Il y a des hommes derrière les casques, […] qui sont blessés en étant constamment jetés dans la vengeance populaire », a-t-il déclaré.

Concernant la réforme des retraites, François Bayrou a reconnu des « manques » de la majorité. « Ce qui manquait, c’est qu’on explique simplement la situation à chacun des Français et que chacun puisse se faire une idée », a-t-il plaidé, évoquant « une présentation trompeuse, ou trop optimiste » sur l’état des comptes du régime de retraite.

« Tout le monde s’est complaisamment trompé, majorité et opposition », a-t-il assuré, épargnant juste Emmanuel Macron qui « lui a au moins dit les mots sur la situation dans le pays ».

Face à la crise politique, François Bayrou a affirmé qu’il…

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