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Dubai Porta Potty : comment vivent les influenceurs à Dubaï ? Un nouveau phénomène dégoûtant au-delà de toute croyance

La dernière tendance virale sur TikTok vise à démasquer certaines pratiques dégoûtantes qui auraient lieu entre de jeunes influenceurs Instagram et des hommes arabes puissants…

La chanson du groupe de hip-hop old school « What people do for money » de 1984 pourrait être plus pertinente que jamais pour expliquer ce qui se passe réellement à Dubaï.

TikTok est impliqué et non, ce n’est pas un défi. La célèbre plateforme de contenu vidéo a en effet mis en lumière une pratique qui, jusqu’à aujourd’hui, était inconnue de la plupart. Et cela vous fera frissonner.

Dubaï, les influenceurs et le phénomène (dégoûtant) de la « potty door »… Nous supposons que la preuve accablante que cela se produit, nous ne pourrions jamais l’avoir, mais selon les histoires de ceux qui ont été là à la première personne, le phénomène semblait absolument vrai. Et la présence d’une vidéo dégoûtante semble n’être que la preuve par 9.

La pratique que certains influenceurs font en échange de grosses sommes d’argent et de cadeaux s’appelle « Dubai Porta Potty ». Selon certains témoignages directs de femmes qui ont refusé, la pratique consiste à les faire « expulser » pour recevoir, en effet, des sacs, des bijoux ou de l’argent.

Oui, c’est bien cela. Ces femmes, pour la plupart belles, se font uriner et excréter en échange d’argent.

Une définition qui figure également dans le « Dictionnaire urbain », témoignant de l’existence réelle de cette pratique depuis bien plus longtemps.

Sur le site, sous la rubrique ‘Porta Potties’, vous pouvez lire : « Des escortes chères achetées par de riches hommes arabes et européens pour assister à des ‘yacht parties’ pour plus de 30 000 dollars chacune. En réalité ces femmes sont amenées sur ces bateaux pour être déféquées et urinées dessus, d’où le nom de Porta Potties. »

Pour le moins horrifié les utilisateurs de TikTok et Twitter, où la question est devenue une tendance en très peu de temps.

Sur Twitter, de nombreux utilisateurs ont afflué pour exprimer leur regret d’avoir cherché les mots-clés associés au problème et sont tombés sur l’une de ces vidéos, comme cet utilisateur qui a écrit :

« J’étais sur TikTok et tout ce que je vois, c’est du pot à Dubaï partout, peu importe ce que c’est. Maintenant, je sais que j’aurais dû honnêtement faire mes propres affaires ».

L’une, surtout, circule sur le net depuis quelques heures et elle concernerait la pratique du porta potty à laquelle une influenceuse sud-africaine décide de se soumettre.

Rendez-vous en échange d’argent : le phénomène ne change pas de Dubaï à l’Ouest

Ce phénomène est lié à une autre tendance en vogue ces dernières semaines et connue sous le nom de ‘compensated dating’, à savoir le phénomène selon lequel des jeunes femmes sortent avec des hommes beaucoup plus âgés qu’elles en échange d’argent ou de cadeaux.

Aussi connu sous le nom de « fréquentation subventionnée », ce phénomène, lié à Porta Potty mais qui souvent ne coïncide pas avec la prostitution proprement dite, dérive de l’expression japonaise « Enjo-kōsai » qui, bien que non traduisible littéralement, désigne la pratique des rencontres d’assistance, aide ou soutien.

Même au Japon, le phénomène est toujours le même : de riches hommes d’affaires qui offrent des cadeaux ou de l’argent en échange de la compagnie de jeunes femmes et de faveurs sexuelles.

Ici en occident vous aurez surement entendu parler plus souvent de ce type d’hommes comme ‘Sugar Daddy’, littéralement des « papas », c’est à dire des hommes fortunés à la recherche de sugar babys, des jeunes filles payées pour apporter compagnie et plaisir sexuel dans une relation, cependant, souvent exclusif.

Le papa de sucre, en effet, ne peut souvent pas payer d’autres femmes et le bébé de sucre doit fournir sa compagnie et ses « faveurs » uniquement à lui.

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Cet article a été écrit à la base en italien et traduit par la rédaction

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